Le squat des beaux jours. A l'abri dans la partie boisée, au fin fond du parc, bien à l'écart du parcourt des joggeurs, Skwyrell sait qu'il y est rarement dérangé. Ce cabanon montre son côté débrouillard, il a monté avec peu d'éléments quelque chose d'utile et relativement solide.
Complétement fermé, un toit bâché au cas où la météo fasse des siennes, le cabanon lui permettait de dormir quelques heures à l'occasion, lorsque les insomnies lui laissaient un peu de répit. Un petit réchaud à gaz lui permet d'avoir, à défaut de repas, un peu d'eau chaude.
Dans un coin sont entassés une pile de journaux. Un tas d'articles découpés est posé en vrac à côté. Les titres font référence à d'obscures histoires de rêves, de personnes internées pour folie.